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Le 3 avril 2000, à 3h17 du matin, la SFOR a arrêté Momcilo Krajisnik, qui avait été placé par le Tribunal pénal international (TPI) pour l'ex-Yougoslavie sous le coup d'un acte d'accusation secret pour crimes de guerre. Des dispositions sont prises en vue de son transfert à La Haye.

Momcilo Krajisnik est donc sous le coup d'un acte d'accusation secret pour crimes de guerre. Entre le 1er juillet 1991 et le 31 décembre 1992, les forces serbes de Bosnie, sous la direction et le contrôle de Krajisnik, alors haut responsable au sein du parti démocratique serbe de Bosnie-Herzégovine, se sont emparées de plusieurs municipalités qui avaient été proclamées comme appartenant à la République serbe de Bosnie-Herzégovine. Il est accusé de génocide, de crimes contre l'humanité, de violations des lois et coutumes de la guerre, et d'infractions graves aux Conventions de Genève, notamment de meurtres, d'homicides volontaires, d'extermination, de complicité de génocide, de déportation et d'actes inhumains.

Avec cette arrestation - la sixième depuis mon entrée en fonctions en tant que Secrétaire général - la SFOR a capturé la personne la plus haut placée jusqu'à présent accusée de crimes de guerre dans l'ex-Yougoslavie. C'est une bonne nouvelle pour la justice et une bonne nouvelle pour la population de Bosnie-Herzégovine. Aux individus qui n'ont pas encore été pris, je répéterai ce que j'ai dit à plusieurs reprises : l'étau se resserre. Il est temps pour eux de se constituer prisonniers.

Quand le peuple de Bosnie-Herzégovine se rendra aux urnes pour les élections municipales dans cinq jours exactement, il devrait dire non à la politique sans issue de haine ethnique et voter pour un nouvel avenir dans le cadre d'une Europe démocratique et tolérante. Et il pourra le faire en sachant que la communauté internationale le soutient, que la justice est en action et que les élections mettent à sa portée un avenir meilleur pour la Bosnie-Herzégovine.

La SFOR a mené cette action conformément à son mandat, aux termes duquel elle est habilitée à arrêter ces personnes. Ce mandat a été donné à la SFOR par le Conseil de l'Atlantique Nord en application de la résolution du Conseil de sécurité des Nations unies prise à cet effet.

Les parties à l'Accord de paix de Dayton sont toujours dans l'obligation de coopérer aux enquêtes et aux poursuites concernant les crimes de guerre et autres violations du droit international et humanitaire. La SFOR continuera de jouer son rôle en remplissant son mandat avec fermeté et équité.

Le SACEUR, qui exerce le commandement d'ensemble de la SFOR, m'a tenu pleinement informé de l'arrestation. Je rends hommage aux hommes de la SFOR et à leurs commandants pour le courage, le professionnalisme et le dévouement avec lesquels ils ont mené cette action, qui contribuera à consolider encore la paix en Bosnie?Herzégovine.