L'OTAN prête à développer sa coopération avec la République kirghize, déclare le secrétaire général de l'OTAN

  • 17 Sep. 2013 -
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  • Mis à jour le: 20 Sep. 2013 12:48



À l'occasion de l'entretien qu'il a eu ce mardi (17 septembre 2013) avec le président kirghize Almazbek Atambaïev, le secrétaire général de l'OTAN, Anders Fogh Rasmussen, a déclaré que l'Alliance était prête à développer sa coopération avec la République kirghize et à soutenir les réformes démocratiques. « La République kirghize est un partenaire précieux pour l'OTAN », a déclaré le secrétaire général. « Nous saluons votre engagement en faveur du dialogue et de la coopération et votre détermination à développer les institutions démocratiques de votre pays.»

M. Rasmussen a également indiqué que l'Alliance pourrait développer sa coopération avec la République kirghize dans d'autres domaines où cette coopération ferait réellement une différence. « Je suis certain que nous pouvons être plus ambitieux dans notre coopération, par exemple en matière de réponse aux catastrophes, de logistique et de réforme de la défense », a t il déclaré, soulignant que « la coopération repose aussi sur des valeurs et des principes démocratiques partagés, qui sont l'essence du Partenariat pour la paix ». Il a ajouté : « Monsieur le président, l'entretien que nous avons eu aujourd'hui nous a permis d'aborder ces questions, et je vous encourage à renforcer les institutions démocratiques de votre pays et à assurer la protection des minorités et des droits humains ».

Le secrétaire général a remercié le président Atambaïev pour la contribution de son pays aux efforts visant à instaurer la sécurité et la stabilité en Afghanistan. La République kirghize contribue à la mission de l'OTAN en Afghanistan en facilitant le transit de matériels OTAN. Elle participe également au programme de formation du Conseil OTAN Russie destiné aux agents de lutte antidrogue d'Afghanistan et de la région. « Nous savons tous qu'un Afghanistan stable et sûr contribuera au maintien de la stabilité et de la sécurité dans la région », a conclu M. Rasmussen.

 

 

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