La secrétaire générale déléguée de l’OTAN en visite au Portugal

  • 01 Mar. 2019 -
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  • Mis à jour le: 04 Mar. 2019 12:51

En visite au Portugal, la secrétaire générale déléguée de l’OTAN, Mme Rose Gottemoeller, a rencontré, ce vendredi (1er mars), le ministre des Affaires étrangères, M. Augusto Santos Silva, et le ministre de la Défense, M. João Gomes Cravinho, pour discuter des investissements de défense et des défis auxquels l’Alliance est confrontée.

Mme Gottemoeller s’est rendue à l’académie OTAN des technologies de l’information et de la communication (NCI Academy) ainsi qu’au quartier général des Forces navales OTAN d'intervention et de soutien (STRIKFORNATO), à Oeiras. Elle s’est également rendue au Centre interarmées d’analyse et de retour d’expérience (JALLC) de l’OTAN, à Monsanto. À Lisbonne, Mme Gottemoeller a rencontré des membres de la commission parlementaire de la défense nationale.

La veille (jeudi 28 février), Mme Gottemoeller a pris la parole à la conférence organisée à l’Université catholique de Lisbonne sur le thème « L’avenir de l’OTAN ». Elle a déclaré qu’en tant que membre fondateur de l’OTAN, le Portugal, situé « au bord de l’océan qui relie les uns aux autres », « a toujours été au cœur de l’Alliance atlantique ». La secrétaire générale déléguée a ajouté qu’aujourd’hui, le Portugal continuait de contribuer à la sécurité transatlantique « sur terre, en mer, dans les airs et dans le cyberespace » grâce à l’académie qui a récemment vu le jour à Oeiras et où seront dispensées « des formations de pointe dans le domaine de la cyberdéfense ».

Mme Gottemoeller a indiqué qu’en avril, les ministres des Affaires étrangères des pays de l’Alliance se réuniraient à Washington le jour même et sur les lieux même où le Traité de l’Atlantique Nord a été signé il y a 70 ans et que ce serait l’occasion de réfléchir à « ce que nous avons accompli et ce vers quoi nous nous dirigeons ». La secrétaire générale déléguée a souligné que les Alliés continueraient de « renforcer l’OTAN au service de leur sécurité commune » et qu’elle était certaine que « le Portugal continuera[it] de jouer un rôle essentiel aujourd’hui comme demain ».