Le secrétaire général de l’OTAN et le président Trump évoquent ensemble la préparation du sommet de juillet
Le secrétaire général de l'OTAN, Jens Stoltenberg, s’est entretenu avec le président américain, Donald Trump, à la Maison Blanche jeudi (17 mai). M. Stoltenberg et M. Trump ont évoqué la préparation du sommet qui rassemblera les dirigeants des pays membres de l’OTAN à Bruxelles les 11 et 12 juillet, la contribution croissante de l'OTAN à la lutte contre le terrorisme et le partage plus équitable des charges au sein de l'Alliance.
Prenant la parole à l’issue de la réunion dans le Bureau ovale, le secrétaire général a déclaré que, dans un monde imprévisible, il fallait une OTAN forte. Il a remercié le président américain pour son leadership sur la question des dépenses de défense, indiquant que cette approche avait un réel impact. L’ensemble des Alliés ont cessé toute diminution de leurs dépenses de défense et ont commencé à les augmenter ; les dépenses de défense des Alliés européens et du Canada ont ainsi connu trois années consécutives de croissance. « Il est très important que chacun de nous contribue davantage à la sécurité commune », a déclaré M. Stoltenberg.
Le secrétaire général et le président américain ont été rejoints par les membres de l’équipe américaine chargée de la sécurité nationale, et notamment M. Mike Pence, vice-président, M. Michael R. Pompeo, secrétaire d’État, M. James Mattis, secrétaire à la Défense, le général (en retraite) John Kelly, assistant du président et chef de cabinet, et M. l’ambassadeur John Bolton, assistant du président pour les questions de sécurité nationale. Au cours de la réunion, M. Stoltenberg a également évoqué les contributions de l’OTAN à la lutte contre le terrorisme, en particulier le renforcement des missions de formation en Afghanistan et en Iraq.
Mercredi soir, le secrétaire général avait rencontré, au département d’État, le secrétaire d’État, Michael R. Pompeo, le secrétaire à la Défense, James Mattis, et M. l’ambassadeur John Bolton, assistant du président pour les questions de sécurité nationale, afin de s’entretenir avec eux de la situation en Syrie, en Iran et en Russie.