5 juillet 2004

M. de Hoop Scheffer invite la Suisse à participer à l’extension du rôle de la FIAS Nouvelles 02/07/2004 - OTAN Visite du Secrétaire général de l’OTAN en Suisse, le 5 juillet 2004 Historique NATO in Afghanistan 28/06/04 - NATO Factsheet on Afghanistan Partnership for Peace Opinions 29/06/2004 - NATO Déclaration suisse sur l'Afghanistan Lors d’une visite à Berne le 5 juillet, le Secrétaire général de l’OTAN a invité la Suisse, pays partenaire de l’OTAN, à contribuer à l’extension de la présence de l’Alliance en Afghanistan. Il a évoqué les résultats du Sommet d’Istanbul lors de réunions avec le Président de la Confédération suisse, M. Joseph Deiss, la Ministre des affaires étrangères, Mme Micheline Calmy-Rey, le Ministre de la défense, M. Samuel Schmid, et des membres du parlement suisse. Travailler ensemble pour la sécurité Au Sommet d’Istanbul, les pays membres de l’OTAN et les pays partenaires sont convenus de renforcer encore leur coopération. L’Alliance a également annoncé une nouvelle extension de sa présence en Afghanistan. La Suisse et un certain nombre d’autres pays partenaires contribuent à la Force internationale d’assistance à la sécurité (FIAS) dirigée par l’OTAN. Le Secrétaire général a déclaré à la presse qu’il encourageait les pays partenaires à renforcer leur engagement en Afghanistan en contribuant aux cinq équipes de reconstruction provinciale (PRT) que l’OTAN dirigera bientôt dans le nord du pays. M. de Hoop Scheffer a aussi évoqué la possibilité que la Suisse contribue à l’aide que l’OTAN s’est engagée, lors du Sommet, à apporter au gouvernement irakien pour la formation des forces de sécurité irakiennes. Il a remercié la Suisse pour sa contribution au Partenariat pour la paix de l’OTAN, s’agissant notamment du soutien aux projets de fonds d’affectation spéciale qui doivent aider d’autres pays partenaires à détruire leurs stocks d’armes et de munitions. Le Secrétaire général a en outre félicité la Suisse pour la réforme de ses forces armées lancée récemment, soulignant que des forces plus souples et interopérables permettraient au pays de contribuer encore mieux à la sécurité internationale.