22 juin 2005

Le Secrétaire général réaffirme l’engagement de l’OTAN en faveur de l’Iraq Nouvelles 22/06/2005 - NATO Le ministre iraquien des affaires étrangères appelle l’OTAN à maintenir son soutien Historique Aide apportée par l’OTAN à l’Iraq Opinions 22/06/2005 - NATO Intervention by Secretary General at International Conference on Iraq Lors d’une conférence de haut niveau sur l’Iraq tenue à Bruxelles le 22 juin, le Secrétaire général de l’OTAN a invité les Partenaires à contribuer à l’aide que l’Alliance fournit à ce pays. La conférence, organisée conjointement par l’Union européenne, les Etats-Unis et le gouvernement iraquien, a rassemblé des hauts représentants de plus de quatre-vingt pays, qui ont examiné les besoins liés à la reconstruction de l’Iraq. La formation est bien engagée Le Secrétaire général a déclaré que l’OTAN restait déterminée à aider l’Iraq à former et équiper ses forces de sécurité, soulignant qu’elle était en bonne voie pour atteindre son objectif consistant à former chaque année mille officiers supérieurs iraquiens à l’intérieur du pays et cinq cents à l’extérieur. Il a ajouté que la prochaine étape importante pour l’OTAN serait l’installation en septembre, aux abords de Bagdad, d’un Centre d’entraînement, de formation et d’enseignement de la doctrine. Ce centre, qui possédera des installations à la pointe de la technique, permettra de regrouper en un seul lieu les activités d’entraînement et de formation théorique en salle. Dans ce contexte, le Secrétaire général a invité « les amis et les partenaires » à contribuer à un fonds d’affectation spéciale pour financer le fonctionnement du nouveau centre, les déplacements et l’hébergement des officiers qui iront suivre des formations à l’étranger, et l’acheminement du matériel militaire donné par les contributeurs. « L’Iraq possède désormais un parlement démocratiquement élu et un gouvernement qui veulent travailler avec tous les amis de ce pays pour y ramener la paix et la stabilité. Dans cette nouvelle phase, il n’y a aucune raison que tous les pays n’apportent pas une contribution importante : nous avons au contraire toutes les raisons de le faire », a déclaré M. de Hoop Scheffer.