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Mise à jour: 29-Nov-2004 11:34 | OTAN Hebdo |
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L’exercice ALLIED WARRIOR
2004 sert à tester la
Les procédures de déploiement et de commandement de la Force de réaction de l’OTAN
(NRF) pour les missions de gestion des crises ont été mises à l’épreuve
du 8 au 24 novembre lors de l’exercice ALLIED WARRIOR 2004.
L’exercice, qui s’est tenu à Amersfoort, Ede et Harskamp (Pays-Bas) et à Vérone et Naples (Italie) a rassemblé plus de 900 participants de seize pays de l’OTAN. Mettre les concepts à l’épreuve
Le scénario prévoyait le déploiement rapide d’un quartier général et l’exécution des fonctions de commandement et de contrôle des forces de la NRF envoyées sur le théâtre. Il comportait la menace d’une attaque asymétrique à l’aide d’armes nucléaires, biologiques et chimiques nécessitant l’intégration des capacités de soutien du bataillon OTAN multinational de défense contre les armes chimiques, biologiques, radiologiques et nucléaires (CBRN) et de l’équipe d’évaluation conjointe NBC. L’exercice ALLIED WARRIOR 2004 a aussi permis de valider le choix du 1er corps germano-néerlandais comme commandement de la composante terrestre de la force interarmées multinationale pour la nouvelle rotation de la NRF, qui commencera en janvier 2005. Une capacité essentielle La NRF a atteint sa capacité opérationnelle initiale
de 17 000 hommes en octobre 2004. Cette force à haut niveau de préparation,
qui fait appel aux technologies de pointe, est une première pour
l’OTAN : elle regroupe des unités d’élite terrestres, aériennes et
navales au sein d’une force unique qui peut être déployée n’importe
où dans le monde dans un délai de cinq jours, avec une autonomie
d’un mois, pour une large gamme de missions. ![]() |